28 janvier 2009

Seul sur le sable, les yeux dans l'eau... mon rêve était trop beau...

C'est donc avec surprise et joie que nous nous réveillons tous reposé et heureux d'une bonne nuit de sommeil. C'est également un peu poqué que nous nous dirigons vers le centre d'information afin de profiter de leur infrastructure. "Noooon" s'écrit Audrey dès son entrée au sein du batiment : "la machine à café est brisée!". Et oui, qu'il fait bon de ne pas être dépendant au café !

Après des petites conversations informatives ici et là, que nous décidons de profiter de la matinée pour réserver un cours de surf, magasiner au magasin de surf et prendre le temps de montrer à Josée la conduite manuelle de Wicked Camper dans le stationnement du "Chocolate Factory Museum". A ni rien comprendre, j'imagine que cette installation fait partie du projet de diversification de l'offre...

Le reste de l'après-midi se résume comme suit : on test différente plage et on en profite pour faire un shooting photo sur un récif... Ah, la magie de Philipp Island!

Puis, l'inévitable se manifeste : nous désirons prendre une douche ! C'est donc avec flair (et surtout le guide de Josée) que nous nous dirigeons vers le seul auberge de jeunesse de la place. Le guide soutient que pour 10$, l'auberge nous laisse utiliser leur infrastructure... cependant les filles décident de plutôt y aller pour le "sneaky-ninja-style" et de réaliser notre nettoyage corporelle de manière ni vue ni connu. Josée se dirige en éclaireure pour identifié le terrain et repéré les pieges. Une fois le tout complété, c'est donc près avoir récupéré le stricte nécéssaire du véhicule que nous y allons donc d'un pas assuré et "casual".

Sept minute et 8 secondes plus tard, notre mission est accomplie et nous retournons à notre quartier général roulant. C'est avec grâce que j'effectue la passe du magicien et que je me change subtilement sur le bord de la rue. Bien entendu, il faut que la seule voiture qui passe à cet endroit durant les 25 minutes que nous somme stationné, arrive juste au moment où je tente de mettre mes boxers... cependant, ces suédoises/russes/norvégiennes n'y verrons que du feu!

La fin de la journée se fera sous un teinte romantique. Après avoir récupéré quelques autres victuailles, nous ferons tout en notre pouvoir pour admirer le coucher de soleil. Chose réussi, en moins de 10 minutes, nous trouvons une falaise qui réponds parfaitement au critère de tout bon roman de la collection arlequin : doux vent, petit coin reclu et privé, petit bosquet ici et là, soleil se couchant au loin sous fond de ciel presqu'entièrement dégagé, picnic imprové et à plusieurs mettre plus bas, une plage presque déserte. Presque déserte puisqu'une uluberlue d'une quarantaine d'années se promène en criant "BOBBY, BOBBY.... BOBBY!" pendant quelques minutes. Malgré notre bonne volonté, nous croyons aux permiers abord qu'il s'agit d'une folle. C'est avec soulagement que nous réalisons finalement qu'elle appele son chien avec passion, chien qui avait décidé de partir en courant sur le litoral pittoresque qui s'offre à nous. C'est donc détendu de cette péripétie que nous rions, prenons des photos avant de fixer l'horizon, là où l'astre glorieux se glisse tranquillement sous l'horizon.
 
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