2 mars 2009

Stop ou... encore !

Update on the way... stay tuned!

Je suis de retour à Montréal, par contre, je vais finir d'écrire mes aventures... rester donc tjrs à l'affut !

28 janvier 2009

Seul sur le sable, les yeux dans l'eau... mon rêve était trop beau...

C'est donc avec surprise et joie que nous nous réveillons tous reposé et heureux d'une bonne nuit de sommeil. C'est également un peu poqué que nous nous dirigons vers le centre d'information afin de profiter de leur infrastructure. "Noooon" s'écrit Audrey dès son entrée au sein du batiment : "la machine à café est brisée!". Et oui, qu'il fait bon de ne pas être dépendant au café !

Après des petites conversations informatives ici et là, que nous décidons de profiter de la matinée pour réserver un cours de surf, magasiner au magasin de surf et prendre le temps de montrer à Josée la conduite manuelle de Wicked Camper dans le stationnement du "Chocolate Factory Museum". A ni rien comprendre, j'imagine que cette installation fait partie du projet de diversification de l'offre...

Le reste de l'après-midi se résume comme suit : on test différente plage et on en profite pour faire un shooting photo sur un récif... Ah, la magie de Philipp Island!

Puis, l'inévitable se manifeste : nous désirons prendre une douche ! C'est donc avec flair (et surtout le guide de Josée) que nous nous dirigeons vers le seul auberge de jeunesse de la place. Le guide soutient que pour 10$, l'auberge nous laisse utiliser leur infrastructure... cependant les filles décident de plutôt y aller pour le "sneaky-ninja-style" et de réaliser notre nettoyage corporelle de manière ni vue ni connu. Josée se dirige en éclaireure pour identifié le terrain et repéré les pieges. Une fois le tout complété, c'est donc près avoir récupéré le stricte nécéssaire du véhicule que nous y allons donc d'un pas assuré et "casual".

Sept minute et 8 secondes plus tard, notre mission est accomplie et nous retournons à notre quartier général roulant. C'est avec grâce que j'effectue la passe du magicien et que je me change subtilement sur le bord de la rue. Bien entendu, il faut que la seule voiture qui passe à cet endroit durant les 25 minutes que nous somme stationné, arrive juste au moment où je tente de mettre mes boxers... cependant, ces suédoises/russes/norvégiennes n'y verrons que du feu!

La fin de la journée se fera sous un teinte romantique. Après avoir récupéré quelques autres victuailles, nous ferons tout en notre pouvoir pour admirer le coucher de soleil. Chose réussi, en moins de 10 minutes, nous trouvons une falaise qui réponds parfaitement au critère de tout bon roman de la collection arlequin : doux vent, petit coin reclu et privé, petit bosquet ici et là, soleil se couchant au loin sous fond de ciel presqu'entièrement dégagé, picnic imprové et à plusieurs mettre plus bas, une plage presque déserte. Presque déserte puisqu'une uluberlue d'une quarantaine d'années se promène en criant "BOBBY, BOBBY.... BOBBY!" pendant quelques minutes. Malgré notre bonne volonté, nous croyons aux permiers abord qu'il s'agit d'une folle. C'est avec soulagement que nous réalisons finalement qu'elle appele son chien avec passion, chien qui avait décidé de partir en courant sur le litoral pittoresque qui s'offre à nous. C'est donc détendu de cette péripétie que nous rions, prenons des photos avant de fixer l'horizon, là où l'astre glorieux se glisse tranquillement sous l'horizon.

27 janvier 2009

Sharing a dream on an island it felt right...

**ATTENTION : IL S'AGIT DU PLUS LONG POST AU MONDE!**

Ce matin, je pars à l'aventure. Puisque j'ai décidé de me joindre à mes deux visiteuses montréalaises, mon entité humaine se dirigera donc vers Philipp Island. Moyen de transport : un wicked camper ! Une espèce de van hippie full equip pour les roadtrips !

Première étape : se donner rendez-vous à la station de train la plus proche... Je me rends sans problème et quel heureux hasard de sortir à la station et se rendre compte qu'on était dans le même train. À la bonne heure !

Deuxième étape : se rendre au bureau de Wicked Campers pour récupérer notre moyen de transport. Ayant regardé les indications sur le web, semble-t-il qu'il y a un autobus, mais en demandant aux chauffeurs et aux passants, nul ne semble être au courant du bus en question. Après mainte effort, on réussi à attraper un taxi qui nous mènera à bien à destination.

Troisième étape : louer le camper van ! Après avoir signé papiers et autres autorisations et surtout après avoir pris plein de truc dans la pile de "Free Take Away" qui s'offre à nous comme un la caverne d'Ali Baba, on se rends à l'extérieur pour inspecter le véhicule. C'est avec plaisir que nous découvrons que notre monsieur service à la clientèle et Belge et est terriblement content de parler à des québécois. Surtout pour utiliser le mot "Clutch" qu'il à découvert deux semaines précédement.

Quatrième étape : retourner à mon appartement récupérer mes bagages et faire le plein de victuaille! Le cas échéant, il faut noté que même s'il s'agit d'un trajet de quelques kilomètres et d'une vingtaine de minute, Audrey doit s'habitué non seulement à la conduite à droite, au shiftage de la main gauche, mais également à la signalisation australienne! C'est donc avec avec calme et minutie que moi et Josée tentons de guider Audrey. Le mot clé de cette phrase : calme... Je crois qu'un avocat à son examen de barreau n'est pas aussi concentré et stressé que cette pauvre Audrey. Ne vous méprenez pas, je ne ris point d'elle, mais il fallait y être, tout notre amour était avec elle! Le plein de victuaille se faire rapidement et j'en profite pour m'acheter une bouteille vaporisatrice d'Aloes pour tenté de guérir mon énorme coup de soleil de la veille... La van aura donc un léger parfum d'Aloes pour toute la durée du trajet jusqu'à Philipp Island...

Cinquième étape : se rendre à destination, soit Philipp Island, environs 200 km aux nord-est de Melbourne. Il est 17h00, il ne faut donc pas tardez ! Après avoir finalement trouvé l'autoroute 1, qui est également la Princess Highway, qui est également la Freeway et/ou également tout ce que les gens voudrons bien l'appeler, nous filons un parfait bonheur et nous nous rendons à destination sans pépin !

Rendu à Philipp Island, nous décidons de profiter de la "parade des pingouins". Après que Josée est fait une exploratrice d'elle-même, nous apprenons que nous arrivons juste à temps pour avoir une place de choix dans ce "sanctuaire unique d'observation de ce spécimen de pingouin rare et en voie d'instinction". Qui ne sauterait pas sur cette aventure, même s'il on parle ici d'un coût de 20$, prix étudiant, par tête de pipe!

C'est donc avec quelques crudités et un sac de croustille avec un pot d'humus que nous entrons le sanctuaire en voie de s'assoir deuxième rangée à une endroit qui, nous semble-t-il, soit parfait! Puis, l'attente commence, puisque les pingouins ne sortiront que vers les 9h-10h, lorsqu'ils décideront de puncher-out de la chasse aux poissons. C'est donc avec joie que nous lisons un magazine à potin, mangeons notre trempette, essayons de comprendre les 18 dialectes parlés autour de nous et que nous commentons démoniquement sur tous les enfants autour de nous qui décidément semble suicidaire puisque leur comportement nous appel fortement à vouloir les étranglers doucement avec passion...

Et puis, soudainement, un guide s'avance avec un micro. Le moment temps attendu... NOT ! Il s'agit juste d'une présentation de quelques minutes sur l'histoire des pingouins. La passion et la joie qui anime cette représentatrice de ce sanctuaire se compare à Bernard de Rome sur des valiums... on à de la misère à se maîtrisé à ne pas faire la vague et vouloir jeter toute notre monnaie à ses pieds!

Finalement, après une bonne dizaine de minute à faire "oh oh oh... naah..." "ooooohhh ah nah... non plus" "j'pense que... une roche..." "oooooohhhh... coudonc !" "... euhhh j'ai faim!" "hmmm... coudonc on es-tu sur la bonne plage ?" et j'en passe. Deux petits pingouins (petit était le mot clé puisqu'il mesure 30 centimètres de haut à grandeur adulte) se manifeste. Cependant, ces pingouins sont gênés et prennent le temps de se regrouper avant de poursuivre leur ascension à leur petite maison. Après quelques minutes, ils se lancent... dans le tas de roche. Puis, se lance à l'attaque de la butte, dernier obstacle avant un repos bien mérité. Cependant, faut-il rappelé que nous sommes environs plus de 1000 touristes sur une estrade en béton aménager sur la plage et pour rajouté à notre cas, nous somme à l'opposé du tas de roche. Les pingouins apparaissent donc comme des tâches noirâtres à l'horizon qui bouge sur la plage.

D'autres pingouins suivront et feront une ascension de l'autre côté complètement gauche de nous. Entre temps, des asiatiques ne comprenant pas la consigne de "SIT DOWN", se promène d'un côté à l'autre avec leur arbre généalogique au complet, pour rentabiliser leur investissement. Après une bonne heure et demi et alors qu'on fait parti des 10% encore assis et attendant patiemment qu'une pluie de pingouins inondent la plage, puisque jusqu'à maintenant, environs 12 auront sortie de l'océan, nous décidons de lâcher prise et quitter l'endroit. Sur le chemin du retour au bâtiment principal, OH SURPRISE, les pingouins et des dizaines de pingouins longent le pourtour de la clôture pour se rendre à leur demeure. Cependant, plein d'amerture, de haine et de déception, c'est avec détermination que nous les boudons et continuons notre chemin jusqu'à la boîte de commentaires où nous laissons notre venim couler sur la fine pellicule maléable de résine de bois, appelé communément papier.

Je ne puis vous en partager des passages, mais sachez qu'ils sont à la limite du "mangez un char de marde", mais d'un ton beaucoup plus diplômatique.

Suite à cet déception, nous nous attaquons à notre dernière mission de la journée, soit nous trouver un endroit sécuritaire où stationner notre domicile roulant. Intelligent que nous sommes, nous prenons la sage décision de nous arrêter dans le stationnement du centre d'information. À la première heure nous pourrons donc nous renseigner sur les secrets que recèle cette île légendaire. Cependant, à notre grande surprise, aucune toilette extérieure ne s'offre à nous. La nature nous console parcontre en nous permettant d'observer une araignée donc le corps d'environs la longueur de mon pouce et d'environs 2 fois la largeur de mon pouce de large... Je vous épargne la photo, mais disons que nous avons resté au loin de ce fabuleux insecte vénimeux du patriomoine australien!

Finalement, la porte latérale du véhicule se referme sur nos trois aventuriers. C'est cordés avec stratégie et amour qu'ils s'endormiront vers un sommeil bien mérité à l'arrière de leur Wicker Camper!

26 janvier 2009

Let me see that thong...

FINALLY ! The days has arrived... On se dirige vers Torquay pour le "Australian Day", puisqu'à ce lieu magique, se trouve le "Havaianas Australian Day Thong Challenge"! En gros, je sais pas trop c'est quoi, mais je m'y suis inscrit. Tout ce que je sais, c'est que ca implique une plage et une gougoune géante gonflable...

Le réveil est brusque à 6h00 du matin puisque je dois prendre le train à 7h00 AM. Je dors à moitié dans l'auto jusqu'à Geelong où nous avons un fabuleux déjeuner. Étrangement parlant, il s'agit de la première fois que je vois des australiens obèses. Sérieusement, un "déjeuner canadien" pour eu ca vient avec un morceau de steak... Je sais pas où les australiens ont pris leur conceptions d'un canadien et d'un déjeuner... mais voilà ! La photo vaut milles mots !

Finalement, on arrive à Torquay Beach, JAM PACKED ! Je suis le seul qui s'est enregistré d'avance alors je réussi à me faufiler dans la file d'attente rapide. Cependant, une fois que j'ai mon "bracelet de participation", je dois refaire la file pour avoir ma gougoune géante! No way me dis-je, je dois ABSOLUMENT me procurer ma gougoune géante avant qu'il n'en reste plus! Je décide donc de leur proposer de me donner une gougoune non-gonflé. Suggestion accepté, je passe donc devant tout le monde, mais j'ai la tâche de gonfler une gougoune géante de 1m50... à bouche ! C'est toujours bon pour les poumons !

Une fois la complexe tâche pulmonaire terminée, je puis enfin me diriger vers le lieu de rassemblement. Une fois rassemblée avec la troupe de "bracelet bleu", je devais attendre le signal avant de me "garocher" joyeusement à l'eau en compagnie de mes autres partenaires bleutés.

Pour faire une histoire courte, on se pitch dans l'eau, on se rend au boué, tient une corde pendant 30 minutes en attendant le signal. Tout ceci, en étant pogné à côté de 2 petites filles que j'ai failli garocher au delà de leur gougoune géante... !!!!! Je sais pas où elles ont eus leur éducation, mais crié comme des déchaînés qui voient Hilary Duff à chaque fois qui à une vague, est purement inutile et ça à aussi comme effet secondaire de terriblement tomber sur les nerfs !

Au bout du compte, boff... pas aussi excitant que je pensais... Faut dire que je pensais que ça allait être une course à relais ou quelque chose d'excitant. Au moins, je peux dire que fais maintenant parti d'un record du monde... YAY ! (vous ressentez ma joie?)

Découverte du jour : une gougoune géante est VRAIMENT TRÈS confortable comme lit de plage. Ne vous dirigez pas dans l'eau avec, laissez la sur le sol et profiter du soleil sur un conseil qui s'adapte parfaitement à vos courbes et qui possède même un appui tête naturel!

25 janvier 2009

Une ch'mise, un short et un survêt', deux boîtes de balles et deux raquettes...

Aujourd'hui, Audrey est un peu fatiguée, alors moi et Josée décidons d'aller visiter le site du Tennis Open de Melbourne.

Arrivé sur les lieux, après avoir fait le tour ici et là du parc pour trouver le centre névralgique, nous regardons passivement l'horaire de la journée. Semble-t-il que les soeurs séréna jouent en double cette journée là, "chouette" s'écrions-nous! Alors qu'on se dirige vers la billeterie pour vérifier s'il est possible d'avoir des billets sans vendre un de nos foie, deux dames dans la mi-trentaine nous interpellent "You have tickets?". "No, are you selling some?" répondons-nous. "No no, I ain't selling any, we're going home, just take our tickets and have fun!". Et nous voilà donc, après avoir remercier plus d'une fois la gentille prophétesse du tennis, entrain de gambadé comme des enfants qui viennent de recevoir un train à noël vers l'entré du Melbourne Tennis Open.

Bon, malheureusement, on manque les soeurs William. On assiste ensuite à un match de double mixte un tantinet boring, mais où je m'amuse à cheerer les joueurs, comme un vrai australien, en criant "GO JAMIE!" (vidéo à l'appuie). On se promène ensuite sur le site pour profiter de toutes les gratuités et les goodies. Puis, juste avant de quitter, nous décidons de voir un dernier match et nous voyons P. Rafter! Oui oui, (juste pour toi Geneviève), nous voyons donc la légende P. Rafter avec 3 autres donc Cash. C'est le match de tennis le plus incroyable que j'ai jamais vu.

Pas parce qu'ils étaient tellement bons, mais juste parce qu'ils s'en foutaient, c'était pour le plaisir. Cash qui répond et qui crie à la foule, Rafter qui pogne une bière d'un gars puis la calle, les deux autres qui empruntent des chapeaux mexicains au couleur de l'Australie et j'en passe.

Puis on quitte, le coeur rempli de joie et de souvenir... aww... Magic days, come over more often!

24 janvier 2009

Can't keep track no account elegant deception...

Aujourd'hui, les filles veulent visiter le centre-ville. Alors, nous visitons le centre-ville.

Nous partons donc vers les 14h00 sur le tramway traversant Chapel, où je me prête au jeu de "semi-bon guide touristique".

Une fois rendu à destination, flinder's street station, nous passons au "visitor's center" et comme moi, elles sont d'accords que Montreal à des crouttes à manger concernant le centre d'information pour visiteurs!

On fait alors le tour de Melbourne selon leur livre style LonelyPlanet qu'y leur propose les endroits importants. En résumé...

Un bar avec un nue reconnu : jamais trouvé, mais le bar semble l'fun...
Un city hall : qui ressemble juste à un building ben normal...
La bibliothèque de la ville : sans intérêt, à part le gars déguisé en "Styx meets powerranger"... Des passantes chinoises l'interpellent pour prendre une photo à ses côtés avant qu'il ne disparaisse...
Une "facade animée" : mais sans animation... mauvaise traduction, le livre veut juste souligné les couleurs étincellantes...
The City Baths : qui ont juste l'air d'un building d'appartements délabrés...

En conclusion, y'a pas grand chose à voir dans le downtown de Melbourne, ce qui est bien à voir se trouve à l'extérieur de son centre-ville. J'imagine que c'est bien de voir ici et là et de prendre une photo et deux autres par là... mais vraiment, une journée dans le centre-ville et c'est en masse!

23 janvier 2009

The nucleus of womanhood, thorns of Reine Victoria, volare santa gloria...

Aujourd'hui, mes deux montréalaises sont arrivés.

C'est fou comment en même pas 5 minutes, elles me parlent de tout ce que j'ai remarqué également à mon arrivé. Les coupes de cheveux des gars "style coupe longueuil avec mèche et style" beaucoup trop répendus, que le monde chauffe comme des mongols, pis que criss qui boive!"

Suite à un trajet d'autobus pas très comfortable "overnight", on décide de prendre ça smooth et d'aller s'écraser à la plage. Pour pimenter le tout, jus + vodka Bandeburg. C'est pas de ma faute, c'est elles qui l'ont apportés!

En soirée, elles me font à souper pendant que je visite un appart. On mange donc des tacos et bien sur, on achète 2 goons de 4 litres pour 26 dollars, ce qui fait environs 3$CAD le litre de vin... yay !

En passant, cet appartement... ouff ! Comment dire.... localisation parfaite, prix spectaculaire, meublé, deux étages, de l'extérieur c'est splendide... de l'intérieur... Une tempête de l'époque victorienne avec des sofas avec coussins capitonés avec des oiseaux brodés meubles le salon et des cadres géants aux ornements encore plus géants circonscrit des tableaux représentants de fier représentant mi-homme mi-clown ? La chambre offerte était rose petant flash et avec un lit tout aussi weird et laid... J'ai malheureusement dû retiré mon application.
 
real estate website